°"° Description de la Salle Commune de Bijember °"°

En parcourant les couloirs du premier étage, on arrive soudainement dans un couloir particulièrement humide. L'eau ruisselle entre les dalles un peu croche du sol. Entre les dalles, il y a de la mousse verte, légèrement phosphorescente dans la pénombre, jetant une luminosité étrange, mais pas dérangeante.

Le mur d'un seul côté du couloir, sur une longueur déterminée est couvert de ronces et de de lierre. Des statues presque recouvertes elles aussi se tiennent les mains au milieu de la verdure. Des dryades, selon la rumeurs. C'est bien possible, puisque les statues émergent des plantes.

Le mot de passe est pour le moment Acacias, mais le directeur le change périodiquement, au moins une fois par mois.

Une fois le mot de passe prononcé, les dryades s'animent, se lâchent les mains et poussent la porte dissimulée derrière la verdure du lierre. Faites gaffe à ne pas vous prendre les pieds.

On entre ensuite dans un réduit et la porte se referme. Devant se trouve une autre porte, noire comme le vide, orné du blason de Bijember. Il faut donc l'ouvrir pour atteindre la Salle commune. Il fait soleil à cet endroit. Peut-être pas un vrai soleil, mais quand même, ça y ressemble beaucoup. Encore une fois, du lierre luxuriant tapisse les murs.

On arrive alors dans la salle commune. Les tons de jaune, doré, noir et certaines nuances foncées de gris se mêlent dans une harmonie apaisante.

La pièce est de forme pentagonale. Décrivons de la porte d'entrée au mur du fond.

De chaque côté de la porte, assez distant pour permettre une ouverture facile pour les portes, des armoires contenant du matériel commun.

Sur les murs qui s'éloignent de la porte, des pupitres, avec des chaises, où les projets, devoirs ou autres travaux des Bijember sont étalés. Il n'y a pas de place attitrée, mais la plupart du temps, lorsqu'un élève se choisit une place une première fois, il a tendance à reprendre la même ensuite. Mais tout dépend des amitiés qui se développent. Il y a en tout 20 pupitres, 10 de chaque côté.

Les pupitres se poursuivent un peu sur les deux murs opposés qui se rejoignent face à l'entrée. Mais au tiers, la rangée de pupitre s'arrête pour donner l'espace au battant des portes qui donnent sur les dortoirs. Si on poursuit sur ces deux même murs, de l'autre côté des portes des dortoirs, on trouve des fauteuils et des divans confortables, qui se regroupent devant l'âtre et le foyer qui fait la pointe du pentagone. Les deux divans peuvent accueillir 6 élèves chacun, directement devant le foyer. Éparpillé dans ce périmètre, 6 fauteuils moelleux.

Maintenant que nous avons longés les murs, revenons par le centre de la Salle commune. Dispersées dans l'espace, 9 tables rondes accueillant au moins 4 personnes s'y trouve, ce qui donne un nombre de place assise de beaucoup supérieur à la quantité d'élèves présent à Bijember.

Élément qui est et qui restera jusqu'à ce que le directeur de Bijember n'y soit plus, une antique machine à Popcorn, encore parfaitement fonctionnelle. Réserve inépuisable de grains de popcorn et de beurre à faire fondre, la machine est toujours prêts à entrer en fonction pour calmer les fringales nocturnes des Bijember. Cette machine a réduit de moitié les balades nocturnes dans les corridors.

Les garçons à gauche, les filles à droite, mais la disposition est semblable.

En passant la porte, on se retrouve une fois de plus dans un réduit qui mène à une pièce aussi lumineuse et couverte de lierres qu'entre la porte des Dryades et celle du Blason. Su le mur opposé, 7 portes, numérotés de 1 à 7. La porte un est à gauche, la porte 7 à droite. Les chiffres de 1 à 7 sont l'année des élèves du dortoir. Les premières ensemble, les 2e ensemble et ainsi de suite.

Le nombre d'espace privé dans le dortoir dépend du nombre d'élèves, ainsi que la grandeur du dortoir. C'est donc magiquement changeant. Chacun des dortoir est dans les même tons que la salle commune, avec ses draps jaunes tendres, ses épaisses catalognes anthracite et le couvre-lit brodé du blason de Bijember. Le reste de la déco est à la discrétion des pensionnaires.

Au bout du réduit lumineux, près du dortoir des premières années, une autre porte. Celle des douches, lavabos et toilettes. Plusieurs cabines de douches et de toilettes, une dizaine de lavabos.